vendredi 30 juillet 2010

''Wakhal ma deugg'',nouveau Festival de Théàtre à Rufisque

lundi 26 juillet 2010

avant-premiére du documentaire "Tirailleur Marc Gueye..." ce jeudi

La structure de production ’’Guiss Guiss’’ organise jeudi à partir de 17h l’avant-première du documentaire intitulé ’’Tirailleur Marc Guèye : ma plume, mon combat’’ de la réalisatrice Mariama Sylla Faye, indique un communiqué .
La séance est prévue au Centre culturel Blaise Senghor. Le film retrace l’histoire des tirailleurs sénégalais à travers un personnage principal, le Sergent Marc Guèye, explique la source.
Le documentaire vise à ’’mettre en lumière la participation valeureuse des troupes noires à l’effort de guerre en Indochine’’, souligne le communiqué.

Fidél Diémé, nouveau directeur de le cinematographie

Le nouveau directeur de la cinématographie, Fidèle Diémé, a demandé vendredi aux acteurs culturels d’éviter l’informellisation du cinéma sénégalais, estimant qu’un tel phénomène provoquerait la méfiance des investisseurs vis-à-vis du pays.
‘’N’en faisons pas un secteur si informel que les investisseurs aient peur de notre pays", a-t-il soutenu lors de la cérémonie de passation de service avec le directeur sortant Amadou Tidiane Niagane, atteint par la limite d’âge.

vendredi 23 juillet 2010

Misbak 2010...

Cérémonie d’hommage : Samba Diabaré Samb et Joséphine Zambo à l’honneur
23-07-2010
Une cérémonie d’hommage dé­diée au chanteur traditionnel Samba Diabaré Samb et à la comédienne Joséphine Zambo est prévue jeudi prochain au Théâtre national Daniel Sorano.
Dénommée Misbak d’Or, la cérémonie d’hommage organisée cha­que année a choisi, pour cette 4e édition d’honorer Samba Diabaré Samb «musicien, poète, généalogiste» et Joséphine Zambo «artiste co­médienne, danseuse», considérés com­­me des «figures emblémati­ques de renommée internationale».
La maison de production et de promotion spécialisée dans l’événementiel, créée en 2006, organise le Misbak d’Or qui prime chaque année dans le landernau culturel, les grandes figures emblématiques qui ont marqué l’histoire du Sénégal dans le domaine des arts et de la culture. Successivement, elle a honoré la cantatrice Adja Khar Mba­ye Madiaga de Rufisque en 2007, El Hadji Ndiouga Dieng de l’orchestre Baobab de Dakar en 2008, et la diva Sérère Yandé Codou Séne en 2009.
L’événement va également enregistrer la participation d’une pléiade d’artistes musiciens, comédiens et danseurs.

lundi 19 juillet 2010

Le comedien Francais Bernard Giraudeau n'est plus





Le comédien Bernard Giraudeau, qui souffrait d'un cancer depuis une dizaine d'années est mort à 63 ans samedi 17 juillet à 7h00 dans un hôpital à Paris, a annoncé son agent. Avec son physique de jeune premier, Bernard Giraudeau n'était pas
seulement un acteur accompli, il était aussi un metteur en scène et un écrivain bourlingueur en quête d'horizons lointains et de sincérité.

vendredi 16 juillet 2010

Yande Codou Sene, eternellement...




La cantatrice Sérère, Yandé Codou Sène, est décédée ce jeudi, des suites d’une longue maladie qui l’avait maintenue alitée, a annoncé la radio Rfm. La griotte de l’ancien président-poète Léopold Sédar Senghor a rendu l’âme ce jeudi à l’âge de 78 ans, à l’hôpital Aristide Le Dantec où elle était hospitalisée depuis plusieurs semaines. Très connue dans le milieu culturel, la diva est entrée dans l’histoire du Sénégal à l’âge de 15ans. Ses envolées lyriques accompagnaient souvent les discours du président Senghor.



La grande cantatrice sérère Yandé Codou Sène est décédée jeudi à Gandiaye à l’âge de 88 ans, a appris l’APS auprès du fils de la défunte. Sortie lundi dernier de l’hôpital Principal de Dakar après un internement de deux mois, elle était rentrée chez elle à Gandiaye dans la région de Kaolack. Elle a rendu l’âme en début d’après-midi. Cantatrice attritée du Président Léopold Sédar Senghor, Yandé Codou Sène avait une voix inégalable dont la puissance et la profondeur ne laissaient personne indifférent. Cette mère de six enfants a fait preuve durant sa longue et riche carrière de plusieurs qualités dont l’inspiration constante, la technique idéale, la rapidité dans la mise en œuvre des idées et l’intelligence.

Source : APS

Spectacle de Mode au Griroom!

Le jeune styliste Rufisquois Alassane Samb, alias Alou a présenté sa collection de mode été 2010.

Sortie nouvel album d'Ismaila Diagne

L’artiste Rufisquois Ismaila Diagne a présenté en début du mois de juillet, son deuxième album au public. Un album qui a pour titre solidarité et qui comprend 7 titres.
Solidarité est un son second album entièrement enregistre dans la ville de Rufisque avec le Studio Renaissance.
Ici les photos de la conférence de presse qui s’est tenue au groupe Edicom.
Apres Lebou, son premier album, le jeune artiste Rufisquois Ismaila Diagne a mis tout recemment son deuxieme produit musical. un album qui allie aussi bien mbalax et musique traditionnelle senegalaise, en temoigne un featuring eloquent avec la Diva Ndeye Marie Ndiaye Gallo.

atelier d'expression artistique au CCMG

Le centre culturel Maurice Gueye a abrité en début du mois de juillet, un atelier d’expression artistique destiné aux élèves. Cet atelier a connu la participation d’artistes plasticiens et la présence de l’écrivain sénégalais Marouba Fall, auteur du roman « La collégienne ».








mardi 6 juillet 2010

A la decouverte de la troupe Ndiambalane

Troupe Ndiambalane




seance de repetition














Toubab Dialaw, village lebou de la communaute rurale de Yenne. une troupe de theatre assez particuliere nommee Ndiambalane anime et meuble le loisir des jeunes. ici dans ce village de pecheurs, le theatre c'est une veritable histoire de passion.







chaque apres midi, se sont les repetitions qui se deroulent. sous la supervision de Ngagne Sarr, un professionnel de cet art.





se sont la, les images d'une passion pour un art qui rassemble!





















samedi 3 juillet 2010



Ferdinand Léopold Oyono, né le 14 septembre 1929, mort le 10 juin 2010, était un diplomate et homme politique camerounais ainsi que l'auteur de trois romans publiés à la fin des années cinquante.

Né en 1929 à Ebolowa, dans la Province du Sud Cameroun, Ferdinand Léopold Oyono poursuit au lycée de Provins, en France, des études commencées au lycée de Yaoundé. Il réussit ensuite des études supérieures de droit à la Sorbonne avant d'entrer à l'École nationale d'administration (ENA) de Paris en section diplomatique.Il décède le 10 juin 2010 à Yaoundé au Cameroun.Il débuta en 1959 une brillante carrière de haut fonctionnaire avant de devenir ambassadeur du Cameroun dans divers postes (auprès des Nations unies à New York, en Algérie, en Libye, en Grande-Bretagne et en Scandinavie). À partir de 1987 il participe à de nombreux gouvernements de son pays et assure la charge de différents ministères comme les Affaires étrangères ou la Culture.À la fin des années 50, Ferdinand Léopold Oyono publia en langue française trois romans qui ont trait à la vie quotidienne en Afrique à l'époque coloniale et qui, mettant en cause aussi bien l'administration que la police ou l'Église des missionnaires, feront scandale dans cette période de décolonisation.Une vie de boy, publié en 1956, est centré sur le personnage de Toundi, boy instruit placé chez le commandant d'un district de la colonie française. Le roman dénonce les pratiques autoritaires de la colonisation et au-delà, la négation de l'humanité des colonisés à qui on ne pardonne pas de quitter leur place en découvrant l'envers du décor des maîtres blancs. La place faite à la frustration sexuelle de Toundi vis-à-vis de sa patronne blanche et les turpitudes intimes de celle-ci offrent par ailleurs une approche renouvelée du problème colonial.Le vieux nègre et la médaille, publié en 1956, se concentre sur la date symbolique du 14 juillet, fêtée dans un district éloigné. Ce jour-là, Meka, qui a donné du terrain aux missionnaires pour leur église et dont les deux fils sont morts à la guerre, est d'abord heureux d'être honoré par une médaille de reconnaissance de la France, à laquelle tous ses proches applaudissent. En deux jours, après une cérémonie qui tourne au grand guignol et une nuit d'humiliation, le vieil homme prend conscience que ce 14 juillet n'est en fait qu'une mise en scène hypocrite des pouvoirs coloniaux qui parlent d'amitié en maintenant une stricte exclusion des colonisés. La solidarité africaine qui l'entoure à la fin du roman constitue un contrepoint politique et, avec la fierté retrouvée du peuple colonisé, une réponse à la colonisation des Blancs.Chemin d'Europe, publié en 1960, raconta quant à lui l'exploration plus ou moins chaotique du monde des Blancs dans une bourgade africaine par un jeune homme qui veut se couper de ses racines et rêve d'Europe malgré les mises en garde de son père.Ces œuvres qui associent des registres variés, avec des pages drôles ou grinçantes ou émouvantes, ont marqué les esprits dans cette période où s'esquisse la décolonisation et Ferdinand Oyono n'a pas exploré d'autres sujets en cessant d'écrire des romans depuis 1960.

vendredi 2 juillet 2010

prix des cinq continents


édition du Prix des cinq continents de la Francophonie. En effet, les quatre comités de lecture mis en place par la Francophonie viennent de désigner, hier, les dix romans finalistes de ce concours littéraire. Et parmi ces nominés, il y a Les Petits de la guenon, une traduction de Doomi Goolo de Boubacar Boris Diop.