Les rappeurs déclarent constater que « l’obscurité est désormais le quotidien de tous les quartiers et l’électricité est devenue un luxe ».
Les membres du groupe Keur Gui, qui excluent les hommes politiques de leur mouvement, invitent « lutteurs, marchands ambulants, ouvriers, étudiants, journaliste, enseignants, rappeurs et artistes à s’associer à cet élan de protestation « Y’ en a marre », pour exprimer leur « ras-le-bol », peut-on lire dans le communiqué.
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