vendredi 17 décembre 2010

Doigt dans l'oeil !


Connu pour ne pas avoir sa langue dans la poche, le jeune «acteur culturel » rufisquois, Tchek, n’est pas passé par 4 chemins pour dénoncer l’organisation de la troisième édition du festival mondial des arts négres à Rufisque.



Ce qu’il juge anormal, c’est le manque de crédibilité de certains acteurs culturel de la vieille citée, animés par des intérêts crypto-personnel, a-t-il fait savoir.

« Ce festival à Rufisque n’est pas senti par les populations. Car le comité local en charge d’organiser les manifestations, est une affaire de copains. Nombreux sont les artistes rufisquois qui ont été laissé en rade. Donc ya pas d’unanimité » explique le jeune acteur culturel avant de poursuivre : « plus grave dans tout sa, je juge inacceptable que la Sococim investisse plus d’un million d’Euro dans l’organisation générale du festival mondial, alors que cette usine ne fait absolument rien pour venir en aide aux acteurs culturel de la commune de Rufisque ». Abdoulaye Dione dit Tchek, n’en ai pas à sa première sortie du genre, car cette personnalité très atypique, a longtemps fustigé la léthargie culturelle dans la quelle est plongée la ville de Rufisque.

Pour rappel, le festival mondial des arts négres a démarré dans le département de Rufisque le samedi 11 décembre à Toubab Dialaw, à travers une rencontre littéraire et musicale qui a réuni plusieurs artistes.

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